Collectif d'Action et de Lutte contre les Jeux A Risques
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  • http://www.editions-harmattan.fr, juillet 2010

    Posté le juillet 28th, 2010 Caljar 21 commentaires

    « CHOKING GAME » AND OTHER FAINTING GAMES
    Practices, Consequences and Prevention
    APEAS International Symposium
    Sou la direction de Françoise Cochet
    EDUCATION SOCIOLOGIE TRAVAIL SOCIAL

    The game that young people call the « choking game », which has been picked up on in the media and which the media helps to spread, is certainly not new. However, new communication channels have taken away the secrecy surrounding various practices that share the same aim of inducing cerebral hypoxia whilst they portrayed them as trivial or even harmless. Given that it may never be in our power to control the flood of information over the Internet, how can we convey full, objective information, which is still the best means of prevention against the pipe-dreams, manipulations and lark mirrors?

    ISBN : 978-2-296-12292-5 • juillet 2010 • 202 pages

    Prix éditeur : 19 € / 125 FF

  • http://www.sudouest.fr, 26/06/2010

    Posté le juillet 28th, 2010 Caljar 11 commentaires

    Prévention des jeux dangereux Les enfants ont dialogué avec des gendarmes venus à leur rencontre. Partager

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     Saint-Médard-en-Jalles
    Gironde
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    En novembre dernier, la municipalité organisait, à la demande de l’Association taillanaise de parents d’élèves, une réunion publique intitulée « Prévenir les jeux dangereux ». Elle était ouverte exclusivement aux parents et animée par la Brigade de prévention de la délinquance juvénile (BPDJ), et avait alors éclairé les adultes présents sur ce problème en mettant en avant leur rôle fort dans la prévention. Le maître mot était alors : « Il ne faut pas avoir peur d’en parler avec les enfants ».

    Débat

    Par la suite, des parents de l’ATPE ayant leurs enfants au groupe scolaire de La Boétie ont proposé  à Sophie Da Silva, directrice de l’élémentaire, de prendre contact avec la BPDJ afin que cette dernière vienne débattre avec les enfants sur les risques liés à ces jeux dangereux. Le choix de limiter l’intervention au CE2, CM1 et CM2 a été fait.

    Ainsi, en cette fin d’année scolaire, les gendarmes de la BPDJ sont venus, sur deux jours, échanger avec les enfants. « Lors des échanges, explique Sophie Da Silva, les enfants ont pu parler de ce qu’ils connaissent des jeux dangereux, mais aussi des dangers d’Internet. »

    Responsabilité

    De leur côté, les gendarmes de la BPDJ ont tenu à  différencier « jeux dangereux » et « jeux violents ». Ils ont rappelé aux enfants les plus âgés que leur « responsabilité  pouvait être engagée dès lors qu’ils ont 10 ans », en particulier en spécifiant que « le silence pouvait être synonyme de complicité».

    « Les enfants étaient très intéressés, raconte la directrice, et surtout très ouverts au dialogue. Ils n’ont pas été impressionnés par les uniformes, bien au contraire. »

    Saint-Médard-en-Jalles · Gironde
  • http://www.cyberpresse.ca , 25/06/2010

    Posté le juillet 28th, 2010 Caljar 10 commentaires

    Le « jeu du foulard », ce passe-temps mortel

    Aller vers la mort, mais s’arrêter juste avant.

    Auto-asphyxie, jeu d’étranglement ou « jeu du foulard », certains n’arrêtent pas à temps et y laissent leur vie.

    Ce « jeu » consiste à se laisser volontairement étrangler par quelqu’un d’autre ou à procéder soi-même à la strangulation en appliquant une pression sur les artères carotides, les veines qui acheminent le sang au cerveau. Le manque d’oxygène provoque un bref état d’euphorie.

    Le « jeu » de la strangulation peut provoquer des convulsions, et c’est parfois à ce moment que les jeunes cessent d’appliquer une pression sur le cou de leurs amis. L’étranglement peut aussi provoquer la paralysie, la surdité, la cécité, des troubles cognitifs, ou la mort, en moins de quatre minutes.

    En 2008, le Dr Andrew Macnab, un pédiatre de l’Université de la Colombie-Britannique, a mené une étude sur le sujet en Ontario. Près de deux tiers des jeunes interrogés connaissaient ce jeu, et la moitié d’entre eux le croyaient sans danger. Sept pour cent l’avaient essayé.

    Aux États-Unis, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont rapporté 82 décès associés à ce jeu d’étranglement, entre 1995 et 2007. La majorité des victimes étaient des jeunes garçons, âgés entre 11 et 16 ans. Les CDC mettent les parents en garde contre de tels jeux. Les jeunes seraient souvent portés à jouer seul, à l’aide de cordes ou d’autres attaches, pour ressentir des sensations fortes.

    Les parents devraient surveiller les yeux rouges, les marques au cou, des maux de tête intenses et fréquents, et la présence de cordes ou d’attaches dans la chambre à coucher de leurs enfants.

    Avec Louis-Denis Ébacher

    et La Presse Canadienne