Collectif d'Action et de Lutte contre les Jeux A Risques
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  • http://www.frequencefac.com, 11/02/2010

    Posté le février 13th, 2010 Caljar 10 commentaires

    Un collégien de Forbach subit un « happy slapping »

    Les faits, datant de plus d’un mois, se sont produits dans l’enceinte du lycée Jean-Moulin, à Forbach.

    Dans les vestiaires, après une séance de sport, un collégien de 13 ans aurait été pris à parti par quatre adolescents du même âge, pour une raison encore indéterminée.

    Attaché par le cou à un radiateur et maintenu de force, la victime aurait été tabassé par les quatre élèves, sous le regard d’autres collégiens.

    Une scène qui aurait été filmée par l’un des agresseurs, avec son téléphone portable. C’est ce qu’on appelle un «happy slapping».

    Pendant près d’un mois, la jeune victime garde le silence, par peur de représailles.

    L’adolescent à qui appartient le téléphone continue à filmer dans l’établissement avec son portable.

    Le portable finit par être confisqué. Et le film de l’agression découvert, vendredi dernier.

    La famille du collégien a signalé les faits dans une main courante, au commissariat de police de Forbach.

    Elle envisage de porter plainte.

  • http://www.letelegramme.com, 11/02/2010

    Posté le février 13th, 2010 Caljar 12 commentaires

    Forbach. Un ado attaché à un radiateur, tabassé et filmé

    La scène se serait déroulée il y a un mois après un cours de sports dans un collège de l’est de la France. Un élève aurait été attaché à un radiateur par trois autres adolescents, puis tabassé. L’agression scène aurait été filmée par un quatrième individu.

    La victime a réussi à s’échapper mais n’a pas porté plainte immédiatement, raconte RTL. Pourquoi ? Apparemment par peur des représailles.

    Banal « happy slapping »
    L’agression aurait été révélée suite à la confiscation du téléphone portable de l’élève qui a immortalisé cette scène de violence collective tristement connue sous le nom de « happy slapping ». La radio nationale a tenté de contacter l’établissement scolaire et les services de gendarmerie de la commune. Ils confirment qu’il y a bien eu une histoire de tabassage mais refusent d’en dire plus.

  • http://www.letelegramme.com, 11/02/2010

    Posté le février 13th, 2010 Caljar 10 commentaires

    Tremblay-en-France. Ado tabassée devant l’école : trois personnes interpellées

    Nouvelle scène de violence extrême dans un collège parisien. Le 18 janvier dernier, une adolescente de 15 ans aurait été rouée de coups devant le collège René-Descartes, situé à Tremblay-en-France, raconte Europe 1. Bilan : trois côtes fêlées, de nombreuses contusions et un traumatisme psychologique important pour cette victime du « jeu de la boule ». Trois personnes ont été interpellées aujourd’hui, annonce l’AFP.

    Après « le jeu du foulard », le « jeu de la boule »… Le principe :choisir une victime et la frapper en réunion. Public concerné : des collégiens. Europe 1 raconte ce matin les détails d’une de ces agressions en groupe.

    « Tu es morte à la sortie »

    La victime se prénomme Elodie. Elle a 15 ans. Elle raconte son calvaire sur Europe 1. Le 18 janvier dernier, dans la cour de récréation, elle a été prise pour cible par un groupe de collégiens. Ils ont lancé un ballon dans sa direction. La balle est passée entre ses jambes. Elle n’a pas compris. Ils ont rigolé avant de lui dire : « tu es morte à la sortie ». Et ils ont presque tenu parole.

    Sauvée par une gardienne d’école

    Quelques instants plus tard, devant le collège René-Descartes, Elodie a été rouée de coups par une cinquantaine de collégiens. Certains d’entre-eux ont filmé la scène au téléphone portable, selon Europe 1. Une équipe de sécurité mobile était présente au moment de l’agression, précise la radio. Elle ne serait pas intervenue. C’est une gardienne d’école qui aurait réussi « à extraire in extremis » la jeune fille de la mêlée.

    Trois côtes brisées…

    La jeune fille a eu trois côtes brisées et souffraient de nombreuses contusions. Elle n’est pas retournée à l’école depuis. Le rectorat lui cherche un autre établissement. Une enquête est en cours. L’adolescente avait reconnu formellement plusieurs de ses agresseurs. Trois d’entre-eux ont été interpellés ce jeudi. Deux ont été placés en garde à vue, selon l’AFP.