Collectif d'Action et de Lutte contre les Jeux A Risques
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  • A saluer, la publication de la MAIF.

    Posté le février 28th, 2009 Caljar 6 commentaires

    20090226_maif

  • Le drame de Noélanie, Perpignan (Décembre 2007)

    Posté le février 28th, 2009 Caljar 5 commentaires

    Consultez le lien de la blogoliste, à droite de votre écran.

  • France 3 Bretagne (Décembre 2008)

    Posté le février 28th, 2009 Caljar 10 commentaires

    Des jeux dangereux autour de la « non-oxygénation » – La Libre.be
    Un adolescent de 15 ans est est mort après avoir emballé son visage dans un sac plastique…Il a été trouvé inanimé dans sa chambre où se trouvait aussi une vidéo internet sur laquelle une femme s’adonnait au même jeu…

    Un jeu dangereux, un jeu mortel. Il en existe d’autres variantes. Leur point commun : l’auto-suffocation.

    voir la page de France3 Bretagne

    http://ouest.france3.fr/info/bretagne/49806637-fr.php

  • Cébazat – Conférence (07/02/08)

    Posté le février 27th, 2009 Caljar Pas de commentaire
  • Education – Jeu du foulard : « L’ignorance tue » – LCI (Mai 2007)

    Posté le février 27th, 2009 Caljar 12 commentaires

    Education – Jeu du foulard : « L’ignorance tue » :

    LCI.fr :91% des Français disent avoir déjà entendu parler du jeu du foulard, qui consiste à compresser au maximum la carotide dans le but d’obtenir des sensations fortes. Et pourtant, il continue de tuer. Comment l’expliquez vous ?

    Catherine Vince, vice-présidente de l’APEAS (1) : En fait, les gens croient savoir ce que c’est ou voient vaguement en quoi ça consiste mais ils n’en mesurent pas vraiment les conséquences. C’était mon cas. Je me disais que c’était un jeu pour les enfants turbulents, mal dans leur peau. J’étais totalement à côté de la plaque. Il y a deux ans, mon garçon de 8 ans, petit ange aux boucles blondes, est mort de ça. Voilà, les parents ne réalisent pas non plus à quel point ce jeu est dangereux. Ils ne se disent pas non plus que cela peut arriver à leur propre rejeton. C’est pour ça qu’aujourd’hui, on fait tout ce ramdam en se mobilisant le plus possible.

    LCI.fr : Cela passe-t-il par un changement des mentalités ?

    C.V. : Evidemment. Il faut que tout ceux qui sont en contact avec les enfants, des parents aux enseignants, prennent conscience de la dangerosité de ce jeu. Il faut que les parents se disent que tous les enfants sont susceptibles d’y jouer. Sans qu’ils soient pour autant suicidaires ou turbulents. Les enfants sont comme des chercheurs qui expérimentent quelque chose de nouveau. Ils jouent avec leur corps. Ils se disent que c’est un jeu magique qui permet d’avoir des sensations ‘trop top’.

    LCI.fr : Comment en parler avec son enfant ?

    C.V. : Selon moi, cette prévention doit se faire en deux temps. Quand son enfant a trois-quatre ans, il faut rajouter à la liste des interdits qu’on lui fait qu’il ne faut jamais jouer avec sa respiration. Cette interdiction doit se rajouter à celle qu’il ne faut pas jouer avec le feu, ni parler aux inconnus. Ainsi, quand il aura 10-12 ans et qu’un copain lui proposera ce « jeu », il se rappellera que c’est interdit parce que c’est dangereux, autant que le feu. La seconde étape consiste à connaître les signes d’alertes, ces traces qui montrent que notre enfant pratique ce jeu dangereux. Ces signaux sont variés et souvent discrets. Cela peut être des traces sur le cou, des liens qui traînent dans la chambre de notre enfant sans raison valable, des maux de tête, une baisse de la concentration, etc. A ce moment là, une discussion sérieuse s’impose immédiatement. Une maman racontait aussi qu’elle avait posé un garrot à son enfant en lui expliquant que quand le sang ne circulait plus, le bras pouvait mourir. Cette prévention peut -et devrait- se faire dans les cours de sciences également.

    ____________________________________________________________

    « Jeu du foulard »: le sondage choc

    Commandé par l’APEAS et réalisé par l’IPSOS, c’est le premier sondage jamais publié au sujet de ce jeu dangereux pratiqué le plus souvent en groupe, parfois en solitaire. Rendu public jeudi, il révèle que 5% des 15 ans et plus qui en ont entendu parler connaissent des victimes. Selon la même enquête, 91% des personnes interrogées ont entendu parler du « jeu du foulard », parmi elles, 4% avouent l’avoir pratiqué. Soit rapporté à l’ensemble de la population, 1,5 million de personnes. Dans cette catégorie, 6% disent avoir joué à ce jeu à moins de 5 ans, 29% entre 6 et 10 ans, 48% entre 10 et 14 ans et 28% à 15 ans et plus. L’Apeas, qui compte 250 membres, a recensé depuis 2000 une dizaine de morts par an, quatre depuis le début de l’année 2007. Selon l’association, le « pic » de mortalité intervient vers 12 ans.

  • CRDP Versailles, Février 2009

    Posté le février 27th, 2009 Caljar 12 commentaires

    Interview de Madame Anne WEBER, Psychologue de l’enfant et de l’adolescent

    >

  • GENEVE « Comment peut-on aider un pote qui se drogue ? » (26/02/09)

    Posté le février 27th, 2009 Caljar 9 commentaires

    «Comment peut-on aider un pote qui se drogue?»
    par Renaud Bournoud, sur « 20minutes.ch »
    La commune a élaboré avec des adolescents un Trivial Pursuit qui pose des questions sur leurs difficultés quotidiennes.

    «Comment peut-on aider un copain qui prend de la drogue?»

    Voici le genre de question sur laquelle un jeune peut tomber en jouant à Ado Prévention.

    «Vernier n’échappe pas aux problèmes d’alcool et de violences, y compris sexuelles, a justifié le conseiller administratif Thierry Apothéloz. Ce jeu nous permet d’aborder le monde des adolescents. Il nous aide aussi à répondre à des questions difficiles concernant la drogue ou la sexualité, par exemple.»

    La Municipalité n’est pas la seule à défendre cet outil éducatif et préventif. «Ce jeu est surtout fait pour que les ados de 13 à 15 ans ne commencent pas à faire des conneries», affirme Pervine. Cette jeune fille de 16 ans a participé à la rédaction des questions.

    Ces dernières abordent d’autres thèmes délicats, comme le suicide, le jeu du foulard ou encore les troubles de l’alimentation. «Les réponses ne sont pas fermées comme au vrai Trivial Pursuit, a nuancé Katia Peccoud, qui a piloté le projet. Elles permettent d’ouvrir la discussion entre les adultes et les adolescents sur des sujets difficiles», assure la responsable du Service de la jeunesse de Vernier.

    Lancé au début du mois dans le réseau social, le jeu a été développé lors des «Chantiers d’utilité collective» de la commune. Ces ateliers sont fréquentés par des jeunes de 16 à 25 ans en recherche d’emploi ou de formation. Le jeu a été lancé au début du mois. Plusieurs communes suburbaines ont déjà manifesté leur intérêt, ainsi que des écoles.

  • Blog d’A. Lambert, président du conseil Général de l’Orne (26/11/2008)

    Posté le février 26th, 2009 Caljar 5 commentaires

    Jeu du foulard : parlons-en

    26 nov, 2008 • 

    Une pratique innocente, silencieuse, secrète, à laquelle nos jeunes peuvent s’adonner, en groupe ou seul, plusieurs fois par jour, parfois et c’est la vie qui fuit, c’est le handicap qui détruit, ce sont des familles, des professionnels de l’éducation qui ne comprennent pas et qui n’ont rien pu voir venir, faute d’information suffisante et de dialogue. L’Association de Parents d’Enfants Accidentés par Strangulation (APEAS), créée en 2000, multiplie les actions de prévention auprès des parents, absolument essentielles pour protéger les enfants et les adolescents, les sensibiliser aux dangers réels de ce qu’ils croient être un amusement, un défi, à l’âge des bouleversements et de tous les possibles.

    Le message a été parfaitement reçu, jeudi soir, 20 novembre, à la Halle aux Toiles en Alençon. Un public fourni et plus qu’attentif s’est ému de l’intervention digne, construite, de Françoise Cochet, membre de l’association APEAS, dont le fils, Nicolas, est décédé brutalement, à 14 ans. Elle a su trouver la force et l’énergie de partager son expérience, livrant des conseils simples, de bon sens afin d’éviter d’épouvantables drames. Cette conférence-débat* menée en toute sobriété par Mathias Millaret, responsable du pôle enfance et famille au Conseil général de l’Orne, associant le philosophe argentanais Michel Onfray se voulait, avant tout, un hymne à la vie, à l’espoir.

    N’oubliez pas : votre parole est d’or !

    *Partenaires : Conseil général de l’Orne, CODES 61, Croix Rouge française Association Nationale de Prévention en Alcoologie et Accidentologie.

  • CARBON-BLANC, ÉDUCATION. Source : SudOuest.com (Février 2009)

    Posté le février 26th, 2009 admin 9 commentaires

    Bien qu’épargné jusque-là, le collège de Carbon-Blanc a organisé une réunion d’information sur les jeux dangereux

    Franck Martin, principal du collège de Carbon-Blanc, est un homme généreux. Comme son collège reçoit, en plus des élèves de Carbon-Blanc, ceux d’Ambès et de Saint-Vincent-de-Paul, il a eu l’idée de « délocaliser » sa réunion dans cette dernière commune. Celle-ci avait pour but de prévenir plutôt que d’avoir à sévir ou pire, à déplorer un accident, même si le collège est calme.

    Ambès était représentée par deux élus, Gérard Cazanova et Sylvie Redon, et Saint-Vincent-de-Paul par Béatrice Lesnier et Jean-Claude Mandon.

    Présenté par l’adjudant-chef Régis Amet mais surtout par Sonia Cazenave à la fois adjudante-chef à la gendarmerie nationale et psychologue, ils ont avec des mots simples parlé d’un sujet grave.

    Les jeux dangereux, chez les enfants, existeraient depuis bien longtemps mais, contrairement aux problèmes de drogue, on ne les évoque pas beaucoup puisque le secret est une des règles du jeu.

    On distingue deux catégories, les jeux de non-oxygénation et les jeux de brutalité.

    Dans le premier cas, le but recherché est le ressenti de sensations fortes ; il se pratique en compagnie ou bien seul, ce qui le rend encore plus dangereux. On dénombre une dizaine de morts par an. jeu du foulard également appelé jeu de la tomate, du rêve bleu, du cosmos etc. Les conséquences sont l’évanouissement, le coma ou l’arrêt cardiaque qui se traduisent soit par le décès soit par des séquelles gravissimes. Le plus connu est le[

    Dans le second cas, et beaucoup plus répandu, les jeux de brutalité ont pour nom le petit pont massacreur, le cercle infernal, le mikado, la canette, etc.

    Le principe en est simple, puisqu’il s’agit, avec ou sans raison, de se mettre à plusieurs pour frapper un camarade et parfois de filmer la scène.

    D’autres formes de violence existent : celle à caractère sexuel.

    Sonia Cazenave a insisté sur le fait que si les parents ont le moindre soupçon sur de telles pratiques, ils doivent en parler à leurs enfants.

    Les conséquences

    Toutes ces pratiques sont évidemment dommageables en premier lieu pour celui qui les subit, mais ceux qui y participent prennent également de gros risques.

    Responsable pénal à 13 ans, un adolescent qui participe à ces « jeux » peut être accusé à minima de non-assistance à personne en danger, ou se retrouver devant les assises dans le cas de participation à une tournante.


    Quand aux parents, ils peuvent se voir condamner, via leurs enfants, à de lourdes peines sous forme de dommages et intérêts.

    Tous les professeurs ont participé à une formation permettant de repérer les signaux d’alertes lorsqu’un enfant est l’instigateur ou la victime de ces « faux jeux ».

    En cas de doute, contacter la brigade de prévention
    de la délinquance juvénile (BPDJ) : 05 56 90 22 80, bpdj@gendarmerie.net

    Aute
    ur : Daniel Charpentier

    Prévenir le danger
  • Lausanne, La Ville réagit. (18/02/09)

    Posté le février 26th, 2009 admin 19 commentaires

    Jeu du foulard: la majorité des parents est ignorante

    Jeu du foulard: la majorité des parents est ignorante

    source: 20minutes.fr, par Sébastien Jost

    : Les élèves sont confrontés de plus en plus jeunes aux jeux dangereux impliquant coups ou suffocation.

    Qu’il s’agisse de jeux d’étranglement volontaire ou d’agression, Virgile Woringer indique qu’il ne faut pas avoir peur d’en parler avec ses enfants en cas de soupçon. Chef du Service de santé des écoles, il recommande de souligner les risques mortels de ces pratiques et le profond désaccord qu’on a face à ces pratiques dangereuses.

    Les «jeux» de non-oxygénation et d’agression, pratiqués par certains élèves, sont pris très au sérieux par les autorités. Après le décès par asphyxie d’un ado l’été dernier, la Direction de l’éducation lausannoise avait organisé des séances d’information pour les parents d’élèves du secondaire.

    A
    u tour de ceux du primaire d’être invités, lundi prochain, à une réunion sur les «comportements dangereux». Le «jeu du foulard», qui consiste à s’étrangler volontairement, ou le «couloir de la mort», dans lequel un élève passe entre deux rangées de camarades en recevant une pluie de coups, en font partie. Tout comme la scarification. Raison: des élèves de plus en plus jeune sont confrontés à ces actes, qui peuvent s’avérer mortels. Preuve en est cet écolier lausannois de 10 ans à qui un ado a récemment expliqué dans un préau comment se pratiquait le «jeu du foulard».

    «La mise en contact avec ces pratiques commence de plus en plus tôt», confirme Oscar Tosato. Municipal des Ecoles, il souligne que «les séances d’information sont nécessaires», car «80% des parents ignorent tout de ces phénomènes. Il faut donc les en informer et qu’ils puissent exprimer leurs inquiétudes.» Pour l’élu, c’est en parlant de ces comportements et des énormes risques pour la santé qu’ils font courir «qu’on y mettra un terme. On ne peut pas admettre de telles pratiques.»