Collectif d'Action et de Lutte contre les Jeux A Risques
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  • Dimanche 15.03.2009 – La Voix du Nord

    Posté le mars 16th, 2009 Caljar 11 commentaires

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    Source : La Voix du Nord.fr 

  • http://www.sudouest.com, 20/02/2009

    Posté le mars 16th, 2009 Caljar 15 commentaires

    Les jeux dangereux sont une vraie plaie

    L'adjudant Florence Birsinger décrit aux parents d'élèves  les différentes drogues. (Photo Anne-Marie Sopkowitz)
    L’adjudant Florence Birsinger décrit aux parents d’élèves les différentes drogues. (Photo Anne-Marie Sopkowitz)

    Le collège de Lalinde et sa principale, Odile Imberty, ont organisé avec le gendarme Moreau, de la brigade de la commune, une réunion d’information avec les parents d’élèves sur le thème des jeux dangereux et la drogue.

    Cette action fait suite à un problème survenu au collège il y a quelques années mais aussi à une réalité : celle de ces jeux dont il existe 90 appellations, dont la plus commune est le jeu du foulard, qui concerne les jeunes de 4 à 20 ans.

    Happy slapping

    Lors de son exposé, le gendarme Moreau n’y est pas allé par quatre chemins. Il existe en effet de nombreux jeux, ceux de non-oxygénation, d’agression, le happy slapping (acte d’agression filmé par un téléphone mobile), l’aérosol, le vol, le racket, les dégradations, etc. 207 décès sont répertoriés depuis 1995. Mais l’ensemble des cas n’a pas été répertorié.

    Les jeux d’aérosols sont récents alors que ces produits sont interdits dans les listes des fournitures scolaires. Face à ce drame, les adultes responsables (parents, éducateurs, enseignants…) ont une seule arme efficace à leur disposition : la prévention.

    Pont massacreur

    Il existe de nombreux signaux d’alerte, discrets, mais à repérer : trace suspecte sur le cou, lien, corde, ceinture que le jeune garde toujours près de lui ou bien des maux de tête parfois violents ou des rougeurs suspectes au visage. Le jeu du foulard, de la tomate, le pont massacreur et d’autres sont des jeux mortels.

    Dans un autre domaine, cette réunion fut suivie des dangers de la drogue. C’était le premier cours d’information pour l’adjudant Florence Birsinger, de Domme, formatrice relais anti-drogue dans le département, accompagné de Jean-François David, gendarme.

    Cocaïne

    Le but de cette rencontre était d’expliquer aux parents d’élèves, à titre préventif et d’information, le descriptif de chaque drogue et les conséquences.

    L’adjudant a détaillé chaque drogue et par la même occasion montra à chaque parent aussi bien de la cocaïne, de l’ecstasy, de la marijuana, et toutes les formes que l’on peut tirer du cannabis : de l’herbe, du shit en savonnette, en barrette, le joint, etc.

    Lors de son exposé, l’adjudant a fait part des effets de chaque drogue sur le corps humain, précisant que personne n’a le droit en France d’en cultiver même si la plante est jolie.

    La drogue en France n’étant pas légale, la sanction minimum est d’un an de prison et d’une amende en fonction du délit.

    Pour plus d’informations : www.jeudufoulard.com et www.drogues.gouv.fr